kensi ◊ come pick me up.

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PRÉNOM(S) ɕ Kensi Llewelyn.
NOM ɕ Dickens.
AGE ; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ɕ 24 ans ; né le 12 Février 1988 à Tulsa, Oklahoma, USA.
NATIONALITÉ ɕ Américaine.
GROUPE ɕ Socs.
STATUT ɕ C'est compliqué.

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Cataloguée à juste titre (ou peut être pas) de rebelle, caïd et délinquante, Kensi ne s'est jamais cachée d'être contre le système et plus particulièrement contre ses parents. Riche propriétaire terrien, son père est le propriétaire d'une ligne de compagnie livraison routière. La richesse accumulé a décimé la famille qui a privilégié couvrir leur fille unique de cadeaux hors de prix plutôt que d'amour. ◊ Kensi possède un rat domestique nommé Charles, du même nom qu'un de ses ex petit amis qu'elle considérait de même comme un rat. ◊ Kensi possède très peu d'amis, les filles la détestant, les garçons la considérant plutôt comme une vulgaire poupée, sauf Jodie, sa meilleure amie d'enfance, seule personne sur terre à la comprendre car lui ressemblant sur beaucoup de points. ◊ Elle possède un casier judiciaire plutôt épais dû à de nombreux larcins qu'elle commet gratuitement avec l'aide de sa complice Jodie : pickpocket, vol à l'étalage, détérioration de matériel, violence et menace sur personnes âgées, insultes et obscénités à agent de la force policière, etc. Un véritable désespoir pour ses parents. ◊ Les cheveux de Kensi ne sont pas naturellement bruns foncés, mais elle les teint depuis l'âge de quatorze ans afin d'être plus proche du noir, et d'exaspérer un peu plus sa mère. ◊ Elle supporte difficilement l'alcool et est souvent sujette à des malaises. Elle poussa pourtant la provocation toujours plus loin en lançant des concours de shots. ◊ Elle est amoureuse d'un homme marié, mais leur relation est des plus chaotiques. A dire vrai, elle considère qu'aujourd'hui non plus comme attaché à quiconque depuis une violente dispute sur laquelle elle l'a quitté puisque visiblement ses sentiments n'étaient pas partagés. ◊ C'est une fille très bornée et souvent radicale et quand elle prend une décision elle revient rarement sur ses paroles, même si elle sait pertinemment avoir eu tord. Sa fierté est probablement plus grande que la voie lactée. ◊ Elle paye rarement ce qu'elle boit et mange, que ce soit par ingéniosité ou par simple fraude. ◊ S'il y a bien une chose que Kensi adore, ce sont les vieilles choses : bien qu'elle méprise toutes les nouvelles choses hors de prix, téléphone, vêtements, et autres, elle ne volerait probablement jamais un bijoux vintage, une fiole de verre ancienne, etc. Elle a un profond respect et amour pour les vieilleries. Si vous voulez vraiment lui faire plaisir, dégotez lui une pièce dans une brocante ou chez un antiquaire. ◊ Elle adore poser ses pensées sur du papier jaunis, sous forme de lettres adressées à toutes les personnes à qui elle n'ose jamais parler directement. Bien sûr, elle les brûle pour la plupart, sauf celle adressée à ses parents et à Largo. ◊ Elle adore lire, surtout les vieux bouquins américains comme Charles Dickens (qu'elle aime particulièrement du fait qu'il partage le même nom de famille), E.E. Cummings, Jack London, etc.

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« everyday i die »

BY SALLYNA & JUSTMYBONES @ LJ.
Fie toi à ton coeur quand les océans s'embrasent et
ne vit que d'amour même si les étoiles vont à reculons.
- E.E. CUMMINGS.

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Il pleuvait à torrent et les gouttelettes frappaient violemment les vitres préalablement nettoyée par la femme de ménage dans la journée. Il n'y avait aucun bruit, sauf celui de la pluie et de la grosse horloge suisse qui cognait chaque minute dans un bruit sourd et insupportable. Kensi prenait grand soin à ce que ses couverts en argent ne tintent pas contre son assiette alors qu'elle dînait le gombo au poulet de Loretta, car elle savait que le moindre son plus aiguë que celui de la pluie réveillerait la colère de sa mère ou de son père qui dînaient également en silence en face d'elle. La flamme des bougies vacillaient doucement, quelques gouttes de cire tombant sur la table de chêne vernis. La jeune Dickens machônait depuis quelques minutes son morceau de poulet, n'arrivant pas à le terminer, dégoûtée comme à chaque fois qu'elle mangeait en compagnie de ses parents, de la nourriture. En temps normal, elle pouvait dévorer deux assiettes pleines, une avalanche de hamburger, et de milk shakes fraises. Mais dès qu'elle se trouvait avec eux, elle avait juste envie de se planter les couverts en argent que Loretta avait astiqué avec tant de mal, dans son visage.

Elle leva alors sa main pour s'emparer de la carafe en cristal remplie à ras bord de vin rouge.
« Que comptes tu faire avec ça ? » cingla son père en la fusillant du regard.
« Le boire » rétorqua-t-elle simplement en restant pourtant figé en pleine action.
« Ne crois tu pas que nous as assez attiré de problèmes comme ça à cause de l'alcool ? » ajouta sa mère qui se redressa sur sa chaise comme un suricate sort de son trou.
Kensi abaissa sa main, à la fois déroutée et désabusée d'avoir si bien prévu que ses parents lui tomberaient dessus à n'importe quelle occasion. Ils étaient tant incapables de se parler, de se dire clairement que ça n'allait pas, qu'ils préféraient se venger sur Kensi, un vrai punchingball de leurs problèmes conjugaux. Elle ne dit donc rien, incapable et fatiguée de toujours se défendre et de crier. Elle reposa donc la carafe et se mit à grignoter son morceau de pain en baissant la tête.
« Tu ne réponds pas à ta mère ? » s'écria son père en frappant la table de son poing.
« Je n'ai rien à dire, surtout pas à ma mère » répondit-elle en haussant les épaules, sans les regarder.
« Oh ! Enfin dis quelque chose Ben ! » s'emporta sa mère qui voulait toujours s'opposer à sa famille dans une éternelle compétition où elle prenait constamment son maris à parti.
« Sors de table Kensi »
« Non »
Benjamin Dickens était relativement grand, prêt d'un mètre quatre vingt huit, et imposait de chaque parcelle de son corps une profonde violence qui l'habitait. Il avait des yeux noirs comme deux charbons brûlants, des pores tombants et transpirant qui soulignaient son longs visages effrayant. Kensi avait toujours eu peur de lui, et pas seulement à cause des nombreuses gifles et des violences psychologiques qu'il lui faisait subir depuis qu'elle était en âge de comprendre que votre père ne vous aimerait jamais. Elle eut soudain peur, et se releva immédiatement, craignant qu'il tombe sur elle pour lui écraser sa main puissante sur son visage blanc, et jetant un dernier regard plein de haine à sa mère, elle quitta la salle à manger en courant.
« Dans ta chambre ! » hurla-t-il.
Mais Kensi ne l'écouta pas et sans réfléchir, elle quitta la maison, claquant la porte de l'entrée derrière elle. Elle se mit à courir dans l'allée de gravier, ses ballerines de vernis rouge glissant sur les pierres trempées. Elle entendit son père hurler derrière elle sous le grand porche de la maison, mais elle ne se retourna pas, les pans de sa courte robes à fleurs collant à sa peau, ses cheveux virevoltants dans tous les sens.
Elle courut de longues minutes, puis s'arrêta recouverte d'eau glacée. Son corps ressemblait à une baguette de pain dé séchée qui aurait ensuite été gorgée d'eau et sa peau était comparable à celle d'une rénette verte habitant un marécage. Malgré elle, l'instinct l'avait guidé à l'endroit où elle se sentirait le plus en sécurité.
Sur le grand parvis de la caserne de pompier de Tulsa, sous la pluie battante, il indiquait à l'un des camions des signes précis de direction afin qu'il puisse être rentrer à l'intérieur du bâtiment pour ne pas prendre la pluie. Sans hésiter, elle s'avança, les poings serrés contre son corps trempé honteusement couvert d'une robe légère serrée à la ceinture qui redeviendrait du carton dès qu'elle l'aurait ôté. Quand elle fut suffisamment à sa hauteur, un cri de douleur et de désespoir s'échappa de sa gorge en feu.
« Largo ! »
A son nom, il se stoppa et son visage se tourna vers elle. Il eut un mouvement de recul, étonné de la voir ainsi, et avant qu'il ne puisse dire ou faire quoique ce soit, elle se précipita vers lui, et le serra de toutes ses dernières forces dans ses bras.
« Qu'est ce que ... »
« Non pitié ne dis rien. Juste ... serre moi » hoqueta-t-elle en ravalant ses larmes.
Il se tut, puis répondit vivement à son étreinte pendant de longues secondes, alors que la pluie continuait de tomber. Puis, il lui attrapa délicatement les épaules, l'obligeant à se poster devant lui.
« Allons, viens on rentre tu es morte de froid »
La prenant par la main, il l'emmena avec elle vers la rue et Kensi remarqua qu'il jetait un coup d'oeil par dessus son épaule, comme s'il s'inquiétait toujours qu'on ne le suive. Au début, elle se souvenait encore qu'elle mettait ça sur la peur d'être surpris en train de commettre un adultère, mais elle avait très vite compris que cette peur oppressante et inconsciente qu'avait Largo n'avait rien à voir avec son mariage qui se disloquait, mais un mal beaucoup plus profond, et plus touchant qui le dévorait. Voilà l'une des nombreuses raisons pour lesquelles elle avait couru vers lui : ses douleurs, tout comme sa tendresse envers elle, faisaient de lui un vrai être humain, et non pas un robot sans âme qui n'hésitait pas à la malmener, comme ses parents. A chaque fois qu'elle avait peur, qu'elle était triste ou en colère, c'était dans ses bras qu'elle courrait, pour ces raisons et bien d'autres encore ...

BY CALIKALI & SALLYNA @ LJ.
Une amitié qui ne peut pas résister aux actes
condamnables de l'ami n'est pas une amitié.
- EMILE ALAIN.

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Debbie Nichols était une jeune fille plutôt accomplie et exemplaire. En ville, on la connaissait comme étant la fille d'un respectable banquier, qui préparait une délicieuse charlotte aux fraises pour les dimanches après la messe. Elle avait aussi ces incroyables cheveux blonds ondulés, dont elle prenait grand soin en les nouant la plupart du temps en une tresse longue. Elle avait aussi une garde robe très édulcorée et très simple, comme si on allait la demander en mariage dans un film des années cinquante.
Ce matin là, quand elle s'était réveillée, Debbie avait décidé qu'à partir d'aujourd'hui elle serait différente. À l'ouest de Tulsa, sur la grande route qui dépassait le Nightly Double et regagnait l'autoroute du nord de l'Oklahoma se trouvait un vieux banc décrépis prêt d'un arrêt de bus où les bus ne passaient plus à cause des nombreuses bagares et vols qui s'y sétaient passés. Ce banc d'apparence plutôt anodines et malheureuse car recouvert de tags avait pourtant une révélation pour Debbie. Ce jour là, son père avait fait un détour par la grand route car le centre ville était fermé à cause de travaux. Pour la première fois de sa vie elle voyait donc certains quartiers plutôt mal famés de sa ville et alors que la voiture s'était arrêtée à un stop, elle les vit.
Assise sur le banc, fumant des cigarettes et buvant une bouteille de scotch bon marché, une brune et une rousse se tenaient sur ce banc, l'une allongée en laissant balotée son molet dans le vide, l'autre assise sur le dossier du banc, tentait d'y mettre le feu avec son briquet. Elles portaient d'immense lunettes de soleil, parlaient et riaient fort, et insultaient des gamins qui rentraient de l'école. La bouche ouverte, elle sentit son coeur se décomposer alors qu'une vague puissante l'envahit : elle devait être comme elles.
Son admiration pour celle qu'on surnomait les deux salopes de holloway road s'était concrétisée aujourd'hui, alors qu'elle descendait cette même route pour aller à la supérette prêt de ce fameux arrêt de bus. Tremblante, elle entra.
Ce qui se passa à l'intérieur, probablement que vous le lirez d'ici trois ans quand Debbie irait à l'université et que sa collocataire, la peste Britney Finnigan publierait son journal intime dans tout le campus. Mais ceci est une autre histoire.
Elle sortit donc, son corps tremblant comme une feuille au mois de décembre, tenant entre ses mains moites le précieux paquet de cigarette Lucky acheté avec son argent de poche. Ca y est, elle devenait à son tour une vraie rebelle.
« Hey gamine »
Debbie sursauta et lâcha effrayée, son paquet de cigarette sur le sol. Elle pivota alors lentement sur ses pieds et tomba nez à nez avec Kensi Dickens et Jodie Mallory - car c'était bien sûr elles - qui la toisaient de haut. Kensi balança ses longs cheveux noirs en arrière et se baissa pour rattraper le paquet sur le sol.
« Ton papa t'as jamais dit que c'était mauvais pour la santé de fumer ? » demanda Kensi en faisant danser le précieux paquet sous son nez.
« Ton papa t'as jamais dit de ne pas traîner dans ce quartier ? » ajouta Jodie en ricanant « Regarde moi cette jolie petite robe repassée, tu vas la tâcher ici ma belle »
« Je ... euh ... c'est ... » hoqueta Debbie.
« Merde, regarde ça Jodie ça parle ! » lança Kensi en ouvrant le paquet de cigarette pour en allumer une aux coins de ses lèvres.
« Allez sauve toi de la avant qu'on se serve de toi comme cendrier humain » fit Jodie en tapotant le haut de la tête de Debbie, défaisant complètement ses petites mèches tressées.
Sans moufeter, la petite Debbie s'élança alors, et alors qu'elle passait devant Jodie puis Kensi, cette dernière la retint par le bras.
« T'oublies rien gamine ? »
Debbie pivota les talons, se tournant paniquer vers Kensi puis Jodie pour tenter de comprendre ce qu'on lui demandait. Jodie lui tendit alors la main en faisant un petit signe. Elle avala bruyament sa salive, comprenant alors ce qu'il se passait et fourra ses petites mains roses dans sa poche, tirant les deux derniers billets de dix dollars de sa cagnotte pour les déposer dans la main de Jodie.
« Brave petite » fit cette dernière.
« Allez vire de mon atmosphère » rétorqua Kensi en lâchant son bras.
Presque immédiatement, Debbie se sauva à toute vitesse, prenant les jambes à son cou pour regagner l'est de la ville alors qu'elle entendait les deux mégères rirent aux éclats derrière elle. Depuis ce jour, Debbie ne toucha plus jamais aux cigarettes de sa vie.

« someone like you »

PSEUDO/PRÉNOM ɕ Paweke/Api.
AVATAR ɕ Katie McGrath.
COMMENTAIRE ɕ Kassdédi à ma Thelma, merci pour le rôle , et DALE à la personne qui se reconnaitra .

Bienvenuuue Api

Api

Moooooh il est trop mignon le petit icon
Bienvenue Api, et la belle Katie t'est réservée.

Connasse, t'aurais pu prévenir.
Je m'en vais jouer avec le dieu de la raquette alone.

Merci Lexie en sexy jomo

MARINE.

Merci beaucoup Manon

Je voulais faire une surprise saloperie.
Excellente idée, il était interviewé tantôt, il conduit une ferrari : caisse de dieu de la raquette indeed.

MA LOUISE. Contente de te voir ici et de pouvoir rp avec toi.

Bienvenue

Bienvenue.

KATIE.
Bienvenue, excellent choix.

Bienvenue
Magnifique choix

API

Bienvenuue.

Super choix de célébrité!
Bienvenue, en tout cas.

Oh Paweke, j'adore tes avatars Et puis Katie, quel bon choix
bienvenue en tout cas et bon courage avec ta fiche qui je vois est bien avancé et a de superbes bannières

L'anecdote et la musique. Je l'aime tout fort Kensi.

Moi je l'aime pas
Mais j'adore ta façon d'écrire

Elle est trop jolie l'anecdote

Haaaan j'avais pas vu tous les messages de bienvenues avant.
Merci à vous, vous êtes des coeurs.

Ma Thelma, t'imagines même pas comment j'ai chouiné forever alone en écrivant

Bye bye l'ex femme, lâche le partir sois pas vache on est meant to be.

Merci en tout cas, c'est trop gentil comme compliment.

Et moi en la lisant. Je suis dans notre topic là, je suis d'humeur massacrante donc ça va s'en ressentir (violence et émotions au rendez-vous) !

Tant mieux c'est ce que j'aime. Sois mauvaise.

En tout cas, j'ai ENFIN fini ma fiche, merci encore pour le délais.

Comment elles martyrisent les gamines innocentes de Tulsa Kensi et Jodie !

JE VALIIIIIIIIIIIIIDE MON BOUCHON !

KENSI ET JODIE IN THE MORNING

On est trop famous.