(F) We're so epic, you and I.

INFORMATIONS IMPORTANTES ɕ N'a pas eu une vie facile, comme toute personne vivant quartier ouest. A deux grands frères qui font partie des Greasers. A été élevé par eux (mère toxico, père en prison). Intelligente, mais joue de ses charmes. Veut devenir infirmière, travaille pour survivre et essaie d'économiser pour ses études. Féroce lorsqu'il s'agit de personnes chères à son cœur. Sait défendre son bifteck - et surtout son homme Kyng. Ne supporte pas l'ignorance et la bêtise. Use de ses poings lorsqu'elle en a besoin, a appris à boxer grâce à ses frères (continue encore aujourd'hui). Ne se laisse jamais faire. N'est pas une sainte nitouche, mais plutôt une fille qui cherche le respect. Entretient une jalousie incomparable contre toutes les femmes qui approchent les hommes qu'elle considère comme siens: ses frères et son petit ami.
AUTRES ɕ L'avatar et le prénom/nom ne sont absolument pas négociables. Amber est l'image parfaite de la femme pour Kyng. Et surtout elle va bien avec Skarsgard. Bien sûr, je compte sur une personne très motivée, bonne en rp et en orthographe pour prendre ce rôle. Livvy est très importante pour mon Kyng, alors siouplait, soyez actif. Je ne demande pas des romans, juste une personne qui comprend ce rôle et qui l'adore tellement qu'elle est prête à rester éternellement sur ce forum. Si vous prenez ce rôle, prenez la pour l'histoire, non pour l'avatar. Ah et oui, la personne qui prend ce rôle aura le droit à mon admiration éternelle.

RELATION ɕ « Qu'est ce que tu fous là ? » s'exclama-t-il sèchement. La jeune femme était recroquevillée dans le fauteuil attenant à la fenêtre, enroulé dans ce qui semblait être une couverture. Son regard semblait perdu dans l'infinité des étoiles que la nuit faisait étinceler. Ces étoiles se reflétaient presque dans ses yeux. Kyng jeta son manteau sur son lit et s'assit sur le lit. « Tu sais où se trouve la Grande Ourse ? » Elle ne daigna même pas tourner la tête. Au contraire, elle resserra l'étreinte de la couverture autour de son corps. « Je réitère ma question: qu'est ce que tu fous chez moi ? » Kyng commençait à perdre patience. Il ne voulait pas la voir aujourd'hui, surtout après ce qu'elle lui avait fait subir l'autre soir. Et même si son cœur lui criait d'aller l'embrasser et l'étreindre, il ne le ferait pas, car il avait sa fierté. Elle l'avait humilié devant ses amis, et cela il ne pouvait le supporter, surtout de sa part. Elle savait très bien à quel point il se devait d'être le mâle alpha devant ses amis Greasers. Et ce soir là, elle l'avait pris de court, tout ça par jalousie. Son comportement était intolérable et la dispute qui avait suivi l'incident le lui avait bien fait comprendre. Kyng passa la main dans ses cheveux et se leva brusquement. « Livvy, arrêtes de m'ignorer, tu sais que ça me rend fou. Bordel de merde, qu'est ce que tu fous là ? » Il resta un instant silencieux. Le lampadaire de la rue se reflétait sur ses longs cheveux blonds. Elle tourna la tête et il put apercevoir une larme coulée sur sa joue. Détectant son malheur, il ne put s'empêcher de faire un pas vers elle. Mais il se retient. Il était habitué à de telles disputes. Entre eux deux, ce n'était que passion, désir et jalousie. Elle passait son temps à le harceler pour tout savoir sur ses relations avec les autres femmes. Kyng avait beau lui dire qu'il ne voyait qu'elle, qu'elle serait éternellement la plus belle à ses yeux, rien n'y faisait. Elle en devenait paranoïaque, et il n'arrivait plus à supporter ses frasques. Elle balbutia quelques mots. « Je suis désolée. » Puis elle se leva et lâcha sa couverture à terre. Il n'eut le temps de l'attraper que déjà elle courait à l'extérieur, désespérée de voir son amour la rejeter. Kyng ne put se résigner à la laisser seule, dehors en pleine nuit. Il pensa vaguement à ses deux grands frères qui ne manqueraient pas de lui casser la gueule s'ils l'apprenaient. Il la poursuivit criant à son encontre. « LIV ! ATTENDS MOI BORDEL ! » [i]Ce n'est qu'une centaine de mètres plus tard qu'elle s'arrêta, essoufflée et sanglotante. Kyng se retrouva derrière elle et la fit se tourner vers lui. Il hésita un instant à la prendre dans ses bras, mais ne put se résoudre à la laisser dans cet état. Il l'enlaça de toutes ses forces alors qu'elle se débattait. « Quittes moi ! Allez vas y quittes moi ! De toute façon, je suis une bonne à rien ! Oui une bonne à rien Kyng ! » s'écriait-elle alors qu'il l'enserrait de ces bras. Il déposa doucement sa tête sur la sienne. Elle se calma en l'espace de dix minutes et finalement, ils baignèrent dans un silence de plomb. Kyng murmura doucement à son encontre. « Il faut que tu comprennes que je t'aime et que je ne vais pas te quitter, Liv. » Elle releva la tête vers lui et il essuya ses larmes du bout des doigts. Il continua de la rassurer: après tout, il ne pouvait se passer d'elle, elle était ancrée dans sa peau. C'était un sentiment des plus difficiles: de la colère mêlé à un amour inconditionnel. « Viens, rentres avec moi. » Il lui prit la main et voyant qu'elle peinait à marcher, il la porta doucement, comme un homme porte sa mariée. Elle posa la tête sur son torse et tout le long du trajet elle respira son odeur. Finalement, il déposa un baiser sur son front et doucement la posa sur son lit. Un instant, il se déshabilla et la rejoignit, ramenant la couverture sur eux. Il l'enlaça de nouveau, et elle brisa le silence quelques instants plus tard. « J'ai tellement peur que tu partes avec une autre. Je t'aime tellement que ça me fait mal. » Elle embrassa le torse de Kyng et resserra son étreinte. « Je vais essayer de faire des efforts, si c'est ce que tu veux. Je ferais n'importe quoi pour toi. » Kyng bougea de telle façon qu'ils furent face à face. Il jaugea un instant ses yeux bleus dans lesquels il s'était perdu nombres de fois et posa sa main sur sa joue, pour la caresser. « Bien. N'en parlons plus. Embrasses moi maintenant, c'est tout ce que je veux. » Cette nuit, ils se réconcilièrent dans une sensualité étouffante. Kyng resterait marquer par ses crises qu'il subissait. Mais il ne pouvait se résoudre à quitter une femme si fragile et surtout la femme qu'il considérait comme l'amour de sa vie. Ils s'étaient aimés dès les premiers regards, et ils s'aimeraient jusqu'à la fin. Quitte à s'entretuer et se faire du mal. Ils étaient destinés à faire leurs vies ensemble.