BOWEN D.__ uc.

anna torv (juliannamargulies) on TUMBLR.

DEBORAH ashley BOWEN
✚ quote ✚

NOM ɕ BOWEN.
PRENOMS ɕ DEBORAH ASHLEY. Dite Debbie.
AGE ; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ɕ Trente-trois ans, un quatre juillet, à Tulsa, Oklahoma.
NATIONALITÉ ɕ Américaine.
GROUPE ɕ FOLKS.
STATUT ɕ Célibataire.

LA NÉVROSE OBSESSIONNELLE N'EST PAS PATHOLOGIQUE,
juste très prenante...

ɕ Debbie collectionne beaucoup de choses.
ɕ Des lunettes, des chaussures, les reçus de ses cartes de crédits.
ɕ Le noir est sa couleur favorite. Mais elle n'en porte jamais.
ɕ Vous ne la verriez jamais sans rouge à lèvres. Sinon, c'est qu'il y a un problème.
ɕ Toutes les semaines, elle fait l’acquisition d'un nouveau BIG (vous savez, ces énormes tee-shirts).
ɕ Dessus, il peut y avoir des phrases complètement idiotes, les Simpsons, E.T. ou Chew-Bacca, en n'oubliant surtout pas celui qui résume le DSM...
ɕ Debbie a fait parti des Socs avant son départ pour l'université.
ɕ Elle a travaillé pendant trois ans dans un hôpital psychiatrique avant de revenir à Tulsa.
ɕ Aujourd'hui, elle y a ouvert un pub.
ɕ Ce qui équivaut parfaitement à un HP, ne le niez pas !
ɕ En soirée, lorsqu'elle est un peu trop éméchée, elle ne cesse de répéter 'Vous avez un problème !'.
ɕ Pas sur un ton agressif. Plus avec l'intonation d'un psychothérapeute pourri.
ɕ C'est une cinéphile avérée. Elle pourrait vous jouer une scène entière de n'importe quel film.
ɕ Elle a dégommé cinq voiture en deux ans. C'est une très mauvaise conductrice.
ɕ Disney est le plus grand arnaqueur du monde, selon elle.
ɕ Dans son IPod, il y a des playlists toutes plus hétéroclites les unes que les autres.
ɕ Elle a la langue bien pendue.
ɕ Son visage fait toutes sortes de grimaces depuis toujours. Néanmoins, tout le monde s'accordera pour dire qu'elle est bien plus souriante depuis qu'elle est revenue.
ɕ Elle déteste les rendez-vous romantiques.

Spoiler:

« everyday i die »

BOWEN'S FILE.

first date.

« Moi, c'est Claire. Je viens de France et... » Blablabla. L'amphithéâtre, bondé d'étudiants tous plus hétéroclites les uns que les autres, venait tout juste de faire silence. L'année universitaire commençait et ici, comme partout ailleurs, les présentations étaient obligatoires... soi-disant pour rapprocher les élèves dés le début de leurs études. Dans un coin, une jeune blonde ne pouvait se lier plus que ça, physiquement parlant, à ses nouveaux congénères. Complètement affalée sur un jeune homme, qui semblait plus préoccupé par le reflet que lui renvoyait la fenêtre que par le comportement douteux de la blonde, elle essayait de reprendre ses esprits... « Hé ! La prof' t'attend ! » Saisie par le coup de coude qu'on venait de lui prodiguer, elle se leva précipitamment de son siège, qui fit un bruit du diable en se rabattant. « Bonjour... Heu... Debo... NON ! Debbie Bowen, alcoolique anonyme... » Lorsque la classe lui lança un 'bonjour Debbie', elle se rassit, les joues écarlates. Une bonne trentaine d'étudiants s'étaient déjà présentés sans oser dire LA phrase que tout étudiant souhaiterait prononcer un jour. Et elle l'avait fait.

Les pompiers sont pyromanes. Les voleurs, policiers. Les fous ? Dans les asiles, du bon côté de la glace. Il faut toujours se réfugier dans la tanière du loup pour passer inaperçu.

second.

« Pourquoi t'es là ? » Debbie, qui venait tout juste de se resservir un verre, s'assit en tailleur sur le sol même et jeta un regard interrogatif vers son homologue. « Qu'est-ce que tu veux dire ? » Il haussa les épaules et la jaugea un instant. Il but une nouvelle gorgée de sa bière et poursuivit. « Bah, là ! Ici, en faculté de psycho'... t'as pas l'air spécialement atteinte, tu parles jamais de ta vie, tu ne t'intéresses qu'aux cours pratiquement... » Debbie eut un sourire pour John. Cela faisait quatre ans maintenant qu'ils se connaissaient et jamais, ô grand jamais, Debbie n'avait évoqué sa vie. Elle se rendait bien compte que les coups de fil qu'elle recevait étaient bien mystérieux pour le jeune homme. Lui était là parce qu'un membre de sa famille était touché par une schizophrénie hébéphrénique. « Hum. Un truc un peu bizarre. J'ai toujours été un peu rêveuse. Et puis, un jour, je me suis réveillée en me disant que toute ma vie n'était qu'une mascarade, un espèce de jeu où deux camps s'affrontent... » John la regardait d'un air incertain. Il savait que Debbie avait du sang 'royal' (ou un truc du genre, vous voyez ? Ces personnes, même habillées de guenilles, gardent une prestance certaine, les gestes d'une bonne éducation.) mais il ne comprenait pas ce qu'elle lui racontait.

« J'ai vu des choses qui ne pourront jamais s'effacer de ma mémoire. » Conclut-elle, buvant d'une traite le verre qu'elle venait à peine de se servir. John attrapa la bouteille de vodka et lui resservit un autre verre.

La guérilla qui se déroulait entres les deux camps faisait rage depuis longtemps maintenant. Mais ce qu'elle craignait plus que tout, c'était que cela empire. Et selon un vieil ami, elle ne faisait qu'empirer de jour en jour. Debbie regrettait même d'avoir été entraînée par ses parents dans cette absurde discorde qui scindait la belle ville de Tulsa en deux...

third.

fourth.
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Debbie Bowen a écrit:

Et pour ça, je dis : on sabre le champagne, on enferme les loosers dans un placard et on se fait un tuper lien

Mila Donnelly a écrit:

MON MACNORRIS QUOI



Du coup ça me rappelle People Book et tout