(terminé) KENNEDY ▽ sunlight hurt my eyes

fuckyeahdanielcraig (tumblr)

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MARTIN ABRAHAM KENNEDY JUNIOR
✚ Mais parfois cette intrusion dans votre intimité peut être ce dont vous avez besoin ✚

PRÉNOM(S) ɕ Martin, interdiction de l'appeler Marty
NOM ɕ Kennedy, oui comme le président
AGE ; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ɕ 40 Y.O / 29 FEVRIER / TULSA
NATIONALITÉ ɕ Américaine
GROUPE ɕ Socs
STATUT ɕ Marié

Tics, tocs, manies, phobies, souvenirs, qualités et défauts... Dévoilez nous ce qui caractérise votre personnage, ce qui fait de lui un être unique, spécial.

Il est adepte de la polygamie la monogamie est un concept qui le répugne entièrement ɕ fumeur invétéré il a commencé à l'âge de neuf ans à fumer le cigare avec son père et depuis il a continué ɕ il est certain qu'il finira mort d'un cancer et d'un côté il s'en fiche il faut bien mourir un jour ɕ il est antisémite depuis toujours il a été élevé comme cela ɕ "pour un monde pure et une planète bleue" il s'agit de la phrase qu'il se répète chaque matin ɕ il cogne tout le monde il s'en contre fou lorsque quelqu'un l'énerve il frappe ɕ lorsqu'il est triste il frappe ɕ lorsqu'il est malheureux il frappe ɕ lorsqu'il est heureux il frappe ɕ lorsqu'il s'ennuie il frappe ɕ il est quasiment daltonien et s'en cache énormément il est trop fièr pour le dire ɕ il a raté une carrière d'aviateur pour l'armée à cause de cette déficience ɕ il n'a pas horreur des animaux il ne peut seulement les voir qu'en fourrure ɕ il a été élevé par une mère snob et alcoolique et un père politicien qui le battait et tout cela pour l'endurcir ɕ la première personne à avoir reçut ces poings dans le visage n'a été d'autre que son propre père, son bourreau ɕ ɕ entre nous il a tué son père mais, sa mère à réussit à s'arranger pour que la police inculpe quelqu'un d'autre lui. C'est à partir de ce moment la qu'il a perdu son visage de démon, maintenant lorsque vous le regardez vous ne voyez pas toute cette rage et cette colère, on ne voit qu'un petit ange aux yeux bleu, mais qui s'y frotte s'y pique ɕ il est politicien lui-même et use de son pouvoir et de son statut pour voler de femme en femme, de bar en bar, de maitresse en maitresse ɕ il a un permis pour le port et l'utilisation de son arme, qu'il cache toujours soigneusement dans la double poche de sa veste de veste ou de son smoking ɕ comme par ironie son deuxième prénom est Abraham, prénom biblique et juif ɕ Il n'a jamais été amoureux de sa femme d'ailleurs personne ne sait s'il connait le véritable sens du mot amour et s'il en connait le sentiment ɕ cependant en ce moment il fréquente une femme bien différente des autres qu'il a pu rencontrer ɕ il sait réciter tous les états des États-Unis d’Amérique par cœur ɕ il a une mémoire photographique ɕIl est gaucher ɕ maitre dans l'art du maniement des armes ɕ se nourrit exclusivement de café, de bacon d'oeuf brouillé et de fève aux lards agrémenté d'une cigarette mentholé ɕ d'ailleurs il sent l'eau de Cologne et la cigarette mentholées ɕ

Spoiler:

Citation :

Dans ce pays, il faut d’abord faire le fric, et quand tu as le pognon tu as le pouvoir, et quand tu as le pouvoir tu as toute les bonnes femmes..
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Anecdotes, récit, journal intime... Racontez nous un peu la vie de votre personnage, qui il est, d'où il vient, ses rêves, ses désirs, ses peurs, ses espoirs...

Ne jamais regretter, ni même penser que l'on devrait s'excuser, s'excuser n'est certainement pas une marque d'intelligence, est-ce que vous avez déjà vu une petite brute aller 'excuser auprès du petit boutonneux à lunette qu'il matraquait tous les jours à la récréation, avez-vous déjà vu s'excuser un flic quand il tabassait à mort un des détenu qui s'était mal comporté. La violence est une marque d'autorité et qui a cette autorité à le pouvoir. Il y a autre chose qui vous donne ce pouvoir, ce pouvoir que vous voulez tous, une chose qui tout le monde désire, une chose que tout le monde tuerait pour avoir encore plus. Il y a encore des gens qui me contrediront, des gens qui iront à l'encontre de ce que je dis. Arrêtez de me prendre pour un con, vous avez tous envie d'argent, vous voulez tous de l'argent, toujours et encore plus. La folie des grandeurs, rêver d'avoir le meilleur, en quoi tout cela est-il mal, je veux dire, j'ai toujours rêvé de vivre bien, dans le luxe et les femmes. Rendez-vous compte que j'ai eu la chance de naitre dans le luxe, de vivre dans le luxe et de grandir dans celui-ci. J'ai pu me rendre compte qu'il est possible de manipuler chaque personne de chaque parcelle de ce monde. L'argent règle tout, associer à cela la violence des coups, je ne suis pas cupide non, loin de là j'aime seulement l'argent.
« Tu ne crois pas que tu pousses le bouchon un peu loin Marty? » Il n'y avait qu'elle pour l'appeler comme cela, Marty. Il détestait qu'il l'appelle Marty, elle détestait ces parties de poker qui duraient éternellement. « La seule chose qui est poussée aujourd'hui Camille c'est la longueur de ta robe » Elle détestait le fait qu'il ne l'aimait pas. Il détestait son prénom, rien que le fait de croiser son regard lui donnait envie de vomir. Il était devenu allergique à elle et pas une simple allergie qui donne des boutons, une allergie qui vous donne envie de vomir, qui vous rend fébrile et qui vous empêche de respirer. Ils faisaient chambre à part depuis bien longtemps, depuis qu'ils s'étaient mariés d'ailleurs.Par convenance, voilà pourquoi il s'était marié avec la jeune femme et pour faire plaisir à maman surtout. Il avait beau détester toutes les personnes sur cette terre, sa mère était sa seule et unique source d'inspiration. Une femme forte, une femme douée et tellement belle. Une femme que Camille n'était pas. Elle était abjecte, elle faisait l'amour avec n'importe qui n'importe quand et surtout elle ne se gênait pas de le faire devant lui, elle draguait flirtait, elle s'offre comme un objet aux hommes et même aux femmes. Il n'avait jamais levé la main dessus, pourtant ce n'était pas l'envie qui lui en manquait. Il aurait pu vous parler de la haine qu'il éprouvait pour sa femme des heures durant. Durant des heures il aurait pu vous expliquer qu'il ne l' a trouvait pas belle, qu'il détestait son odeur, que le fait de la toucher le rendait fou, fou de colère fou de rage. Que lorsqu'il croisait son regard il n'avait qu'une seule envie, poser ses mains sur son coup et serrer, encore et encore, plus fort, jusqu'à lui briser. « Etouffe toi avec tes cartes » lui glissa t-elle à l'oreille avant de l'embrasser passionnément sur la joue, un long baisé. Tous les hommes autour de la table la regardait fixement le sourire au coin de la bouche. Ils avaient l'air d'un couple parfait, toujours souriant toujours ensemble, ils devaient cela à sa mère qu'il aimait plus que tout. Elle se retira dans ses quartiers, elle savait qu'elle l'avait rendu en colère, elle savait comment cela allait finir. « Mes amis, la partie est terminée » il se leva, remit en place son noeud papillon, ses yeux avaient viré à l'enfer, un léger sourire se fixa sur le coin de ses lèvres, il était en colère et quand on est Martin Kennedy junior et que l'on est en colère, on frappe sur la première personne que l'on croise sur son chemin. Ici, le premier ministre Britannique. Et alors, je suis bien plus puissant que lui.

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Il y a trois catégories de gens dans le monde : les riches, les pauvres, et ceux qui sont au milieu..

« Ranges ton flingue, regarde ta femme » Il l'avait rendue colérique, il l'à rendait folle, elle le rendait dingue. Ces deux la se détestaient pour de bon. Elle avait essayé de le tuer, ce n'était que la dix-septième fois de la journée, d'habitude les tentatives tournaient autour de trente à quarante fois par jour. Elle était devant lui une robe rouge sans bustier sur elle, les cheveux relevée. Elle puait l'alcool, le tabac et l'homme. « Regarde moi Martin, regarde comme je suis désirable » Il ne l'a regarda toujours pas, pourquoi faire. Elle lui donnait tellement envie de vomir. « Tu me dégoûtes » Elle remonta sa robe au niveau de ses genoux, elle continua encore et encore jusqu'à en arriver à ses cuisses. « Regarde comment je suis, regarde moi bien. Désire moi Martin. » Elle releva sa jupe le plus haut qu'elle pouvait. Martin regardait toujours d'un air dégouté. Il avait tellement envie de la détruire. Elle était tout le contraire de ce qu'il pouvait désirer chez une femme. Elle était hautaine, sarcastique, cynique, cruelle, froide. Tout ce qu'il n'aimait pas. Il lui arrivait de frapper sur les domestiques, une chose qu'une femme ne devrait jamais faire, lever la main. Lui avait décidé de ne pas avoir de domestique car, il savait qu'il finirait par leur taper dessus. « Tu n'es qu'une moins que rien Camille. Te voir me dégoûte, t'entendre me répugne, l'odeur de ta peau me donne envie de vomir, la couleur de tes yeux me donnent envie de m'arracher les miens. Je ne souhaite qu'une chose ne plus te voir, ne plus te croiser. Tu n'es qu'une trainée et un jour je me débarrasserais de toi » « Tu n'es qu'une moins que rien Camille. Te voir me dégoûte, t'entendre me répugne, l'odeur de ta peau me donne envie de vomir, la couleur de tes yeux me donnent envie de m'arracher les miens. Je ne souhaite qu'une chose ne plus te voir, ne plus te croiser. Tu n'es qu'une trainée et un jour je me débarrasserais de toi »Elle s'arrêta et posa ses mains autour de sa tête avant de se balancer de droite à gauche comme si elle dansait. Un silence pesant se fit sentir, un regard fixe, droit vers son mari, s'est tout ce qu'elle lui transmit avant qu'une sorte de gloussement horrible ne sorte de sa bouche. Elle rigolait, encore et encore, d'un rire tellement fou, on aurait dit une schizophrène sortant de l'asile. « Jamais tu ne te débarrasseras de moi. Marty, je suis enceinte » « Va donc retrouver ta très jolie et désirable danseuse après cela, va donc décevoir ta mère, misérable fiston à sa maman. Va pleurer dans les jupes de ta mère sale gamin vaniteux. Mais tu me supporteras encore neuf mois et plus encore. Je te pourrirais la vie jusqu'au bout. » Elle s'approcha de lui avant de lui lécher la joue et de s'en aller sans se retourner. Il frappa dans tout ce qu'il put trouver, saisis sa veste et entra dans le garage pour en sortir la voiture. Cette harpie, cette vipère avait encore abusé de lui. Elle n'était faite que de colère et de haine, Camille pensa-t-il. Il ne pouvait pas laisser l'histoire tourner comme cela. Ses dents étaient serrées, son corps était contractée. Il allait devoir se débarrasser d'elle au plus vite, car si elle ne disparaissait pas, il allait devenir le plus dangereux des hommes.